Sur les pas de Saint Louis Marie Grignion de Montfort ...

"Jésus-Christ ... parce qu'il est notre unique maître qui doit nous enseigner, notre unique Seigneur de qui nous devons dépendre, notre unique chef auquel nous devons être unis, notre unique modèle auquel nous devons nous conformer, notre unique médecin qui doit nous guérir, notre unique pasteur qui doit nous nourrir, notre unique voie qui doit nous conduire, notre unique vérité que nous devons croire, notre unique vie qui doit nous vivifier et notre unique tout en toutes choses qui doit nous suffire."

Partager sur: Partager sur Twitter Partager sur Facebook Partager sur Google+

Lundi de Pâques, une journée fraternelle dans les Deux Sèvres pour la chorale !

Saint Louis Marie Grignion de Montfort, un serviteur de Dieu

Sa vie

Le Père de Montfort est né le 31 janvier 1673 à Montfort-sur-Meu près de Rennes.

Le 5 juin 1700 il est ordonné prêtre à Paris.

Pendant six ans il est aumônier de l’hôpital général de Poitiers.

Il oriente vers la vie religieuse Marie-Louise Trichet qui deviendra le 2 février 1703 la première des Filles de la Sagesse.

Toute sa vie il travaille parmi les catégories sociales les plus défavorisées.

En dix ans, il prêche 200 missions et retraites dans l’Ouest de la France.

À trois reprises, en juin, septembre et octobre 1715, il s'installe en ermite dans la petite grotte en forêt de Mervent. Il en sera chassé pour avoir abattu des arbres de la forêt royale sans autorisation.    

Trois mois avant sa mort, il prêche une mission à Saint-Pompain (du 3 décembre 1715 au 2 février 1716) et Villiers-en-Plaine (durant trois semaines). Les nombreuses processions se font au chant des cantiques qu’il compose lui-même sur des airs connus de tous. Il plante de nombreuses croix et calvaires.

De Saint-Pompain, 33 pénitents blancs partent pour un aller-retour à Saumur en pèlerinage à Notre-Dame des Ardilliers « pour obtenir de Dieu de bons apôtres ». Saint-Pompain devient le berceau des Missionnaires apostoliques.

Pendant sa dernière mission à Saint-Laurent-sur-Sèvre, il meurt à l’âge de 43 ans, le 28 avril 1716.

Son message

Il découvre dans la Bible un visage nouveau du Fils de Dieu. Il se passionne pour la Sagesse dont il admire combien elle cherche le bonheur de l’homme et combien aussi elle s’est liée à la Croix.

En fidélité à la mission reçue du Pape Clément XI, il appelle à mener une vie d’alliance avec Dieu : « Dans vos missions faîtes renouveler les promesses du baptême ».

Pour en vivre, il propose un chemin : la Consécration à Jésus par Marie.

« Je te choisis aujourd'hui ô Marie, … pour ma mère … Je te consacre mon corps et mon âme et la valeur de mes bonnes actions passées, présentes et futures… »

Amour de la Sagesse éternelle, 225

Le Père de Montfort a laissé à l’Eglise de nombreux écrits spirituels et trois congrégations religieuses ont leur berceau près de son tombeau à Saint-Laurent-sur-Sèvre et sont présentes sur les cinq continents (les Missionnaires montfortains, les Filles de la Sagesse, les Frères de Saint-Gabriel).

Partager sur: Partager sur Twitter Partager sur Facebook Partager sur Google+